père || Elle est née d'une mère, une reine, elle est connue de tout le royaume, elle est remarquable... mais elle a aussi un père. Un militaire, un général. Une histoire d'une nuit, une passion après une bataille. Des enfants de la reine Astrid elle est l'une des rares à avoir put grandir auprès d'un père, même si il ne l'a pas élevé ils furent proche pendant un temps... Elle aimait ce père, à sa façon. Il lui apprit à manier l'épée, il lui apprit à se battre. C'était le premier a avoir mit une épée dans ses mains. C'est la seule chose qu'il demanda à sa reine, être le premier à pouvoir mettre une épée dans les mains de sa fille. Il fut un professeur exigeant et un des modèle de sa fille. Il y eut toujours entre eux une profonde affection, teinté de respect. Néanmoins ils ne passèrent pas autant de temps ensemble qu'ils auraient put le souhaiter. Il avait sa famille légitime, elle était la fille de la reine avant d'être la sienne. Ils auraient put en tirer une rancœur, mais se contentèrent de profiter des instants qui leurs étaient accordé ensemble... Et puis un jour revint sa troupe, mais il n'était pas à leur tête. Un cheval, un brancard... Il était mort au combat, mort pour protéger son royaume... mort loin des siens. Il reçu les honneurs digne de ce qu'il avait accomplit. Pendant plusieurs jours elle pleura sa mort, soutenue à bout de bras par trois personnes.

mère || Elle a eut un père, elle a surtout une mère. Une femme remarquable, une femme qui dirige. C'est une femme qu'on admire, une femme a qui on prête allégeance, mais servir une reine, servir sa mère, c'est avant tout servir le peuple. C'est ce qu'elle en a comprit, c'est ce qu'elle accomplit. Une tâche qu'elle s'est fixée comme un devoir. Celui d'être digne de sa mère, digne de son sang, digne de son rang. Une princesse guerrière, prête à tout pour son pays. Elle désire lui ressembler de toute son âme, elle désire égalée sa mère, son indépendance. Il y a toujours eut quelque chose en sa mère qui la fascinait... Pour autant elle n'a jamais été la plus proche d'elle, trop désireuse de ne pas la déranger dans son rôle de suzeraine. Pour tant Morrigan est prête à mourir pour défendre sa mère, prête à prendre tout les risques en son nom. Jamais on ne la verra renier cette dernière, jamais elle ne pliera le genoux devant une autre qu'elle. Les reste de l'éducation que son père à put lui transmettre, une éducation de soldat, loyale, fidèle, toujours prête à agir pour le bien de sa nation, de sa mère et de son frère...

frère ||  Il est unique, il est le meilleur. Une véritable amitié lient Merlyn et Morrigan. Il n'était pas que son futur roi, il est son ami, son compagnon d'arme. Elle est la plus fidèle de ses compagnons, celle qui le soutient en tout temps, celle sur qui il peut s'appuyer aveuglément. Sœur du prince, princesse, combattante mais aussi bras droit de ce dernier. Jamais elle ne le trahirait, peut être lui est-elle encore plus fidèle qu'à sa mère. Merlyn est plus qu'important pour elle, elle se fait un devoir de le protéger et de le soutenir... Néanmoins leur relation n'est pas loyauté et obéissance. Il est aussi son complice, celui avec qui elle rit, celui auprès de qui elle a pleurer son père. Elle aime se mesurer à lui et s'est fait un devoir d'un jour le dépasser au combat... car telle est la tâche de celle qui s'est donner pour mission de le protéger en toute circonstance. C'est parce qu'elle est souvent à ses côtés que Morrigan à toujours fréquenter plus d'homme que de femme et c'est parce qu'elle est souvent à ses côtés qu'elle préfère les armures aux robes délicates et brodée... Car oui, une armure est toujours plus pratique quand on veut manier une épée.

soeurs || Elle son nombreuse, sa mère est libre... mais il y en a surtout deux. Amalia et Alienor. La douce Amalia, toujours un mot aimable, toujours un doux sourire, la diplomate Amalia, qui se fait aimé de tous et la séduisante Alienor, remarquable Alienor, joyaux de la cours du Nord, pimpante Alienor aux amants aussi nombreux que ses prétendants. Elles sont trois, toutes différentes et toutes semblables dans leur désire d'indépendance. Elles sont trois, toutes complices, unies pour défendre leur nation et l'honneur de leur mère. Les trois princesses de Stoneheaven, les trois facette d'un même joyaux. Oh, Morrigan aime ses autres sœurs... Elle ne pourrait pas haïr une seule personne de sa famille, mais Alienor et Amalia... Alienor et Amalia sont au dessus du reste. Elles étaient les deux autres personnes auprès de qui Morrigan pleura son père, elles furent celles qui eurent toujours ses confidence. Alienor, toujours capable de lui faire enfiler une robe, Amalia, toujours capable de calmer sa colère. C'est ainsi qu'elles vont, toujours par trois. Si Morrigan n'est pas avec son frère, elle sera avec elles...

cœur || Elle a eut des amants. Des hommes de passages, des histoires sans lendemain... Et puis il y a lui. Un compagnon de son frère, un jeune fils de chevalier. Appartenant à une petite famille sans importance, un nom qui n'a guère d'importance dans son royaume, juste assez pour ce faire remarquer. Il était remarquable, la première fois qu'elle le vit son cœur fit un bond... et elle se sentit incapable de lui parler. Plus que formel en sa présence, particulièrement mal à l'aise... elle n'a jamais réussit à aller plus loin. Quelques passe d'armes, quelques discussions et une jalousie maladive quand une femme lui adresse la parole. Alors elle se contente de son amitié, elle soupir sous les moqueries d'Alienor, les encouragement discret d'Amalia. Comment ces deux là avait put remarquer l'attirance de Morrigan ? Un instinct ou un manque de discrétion ? De tout le royaume, il est le seul qui peut retenir ainsi son attention. Elle le regarde se battre, admirant ses mouvements, sa souplesse, s’arrêtant sur son visage, son sourire, son rire qui charme tant ses oreilles... et quand il croise son regard... Oh quand il croise son regard. Elle a le sentiment que le temps s'arrête pendant un bref instant avant de reprendre, plus vite comme pressé de les éloigner à nouveau... La laissant seule avec des sentiments qu'elle ne sait guère gérer.